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Ça castagne !
Eh oui, ne pas affirmer sans justifier et avoir les textes sous les yeux en cas de doute.
Réponse 2 : vous avez raison. Et c'est réponse 16 qui met tout le monde d'accord. NM : 0 ; MM : 1.
Réponse 15 est très sage et prévoyant. GL
Eh oui, ne pas affirmer sans justifier et avoir les textes sous les yeux en cas de doute.
Réponse 2 : vous avez raison. Et c'est réponse 16 qui met tout le monde d'accord. NM : 0 ; MM : 1.
Réponse 15 est très sage et prévoyant. GL

C'est un gag ? C'est pour voir si l'on suit ?

Apparemment, le radiateur est de classe II, donc sans terre. S'il est muni d'un thermostat électronique programmable, le noir est certainement le fil pilote. Regardez la notice de branchement. Si vous n'utilisez pas le fil pilote, isolez-le. Como, connait pas ; si c'est chinois, méfiance.

Pas compliqué, mais il vous faut mettre un petit tableau et les protections différentielles habituelles pour chaque circuit. Rappel : pas plus de 8 prises mono non spécialisées avec du 2,5 mm2 pour un disjoncteur 20A. Si vous avez des machines spécifiques, il faudra une protection par machine. Par sécurité, demandez à votre électricien de faire le travail, il respectera les normes de sécurité et utilisera le bon matériel.

Bizarre. Le fait de changer la plaque d'endroit n'affecte pas la fonction des boutons. Il y a peut-être un problème interne. Mais quant à savoir pourquoi ? Il faudrait voir sur place. Demandez déjà à un ami qui s'y connait, sinon, SAV.

La quantité d'énergie à fournir pour augmenter la température d'une masse de fluide ne dépend pas du temps. On écrit W = Pxt. W est l'énergie à fournir, P est la puissance en watts, t est le temps. Pour les unités, on verra plus tard. Si vous multipliez la puissance de chauffe par 2, vous divisez le temps nécessaire par 2. La facture sera la même.

Il n'y a aucun problème. Et c'est normal.
Vous mesurez la tension avec un multimètre numérique qui a une grande impédance d'entrée (1Mohm en général) et quand le potentiel est fixé par la source, (interrupteur fermé), il indique bien la bonne valeur. Par contre, interrupteur ouvert, les 2 bornes sont reliées à un circuit ouvert d'un côté, et la ligne du côté ouvert voisine sans doute d'autres câbles dans lesquels il y a du courant ; cette ligne est alors le siège de tensions induites (dites fem) de grande résistance interne. Cela suffit pour que le voltmètre indique une valeur imprévue et semblant anormale ; même si la ligne ouverte ne voisine pas d'autres conducteurs, elle baigne dans des champs électriques et fait "antenne" et les effets sont les mêmes.
Les remèdes :
1. On peut utiliser un contrôleur universel à l'ancienne, c'est à dire analogique magnétoélectrique (à redresseur en alternatif), qui a une impédance d'entrée beaucoup plus petite et est de ce fait pratiquement insensible à cet effet.
2. On peut utiliser un multimètre ou ce genre d'effet est évité grâce à une impédance d'entrée plus petite. Le MX 24 Metrix a une position Low Z possible pour la mesure des tensions en alternatif.
3. On rend artificiellement l'impédance d'entrée du multimètre faible, par exemple en branchant (en sécurité, douille + fils) une lampe de quelques watts aux bornes du multimètre, vous verrez alors que la tension est bien nulle, lampe éteinte, inter ouvert.
Conclusion : on ne peut pas systématiquement croire ce qu'indique un multimètre numérique quand les potentiels ne sont pas fixés (circuits "en l'air"). Pour vérifier simplement chez soi, une douille avec fils volants rigides et lampe de 25 W est souvent utile pour réaliser les tests de base. GL
Vous mesurez la tension avec un multimètre numérique qui a une grande impédance d'entrée (1Mohm en général) et quand le potentiel est fixé par la source, (interrupteur fermé), il indique bien la bonne valeur. Par contre, interrupteur ouvert, les 2 bornes sont reliées à un circuit ouvert d'un côté, et la ligne du côté ouvert voisine sans doute d'autres câbles dans lesquels il y a du courant ; cette ligne est alors le siège de tensions induites (dites fem) de grande résistance interne. Cela suffit pour que le voltmètre indique une valeur imprévue et semblant anormale ; même si la ligne ouverte ne voisine pas d'autres conducteurs, elle baigne dans des champs électriques et fait "antenne" et les effets sont les mêmes.
Les remèdes :
1. On peut utiliser un contrôleur universel à l'ancienne, c'est à dire analogique magnétoélectrique (à redresseur en alternatif), qui a une impédance d'entrée beaucoup plus petite et est de ce fait pratiquement insensible à cet effet.
2. On peut utiliser un multimètre ou ce genre d'effet est évité grâce à une impédance d'entrée plus petite. Le MX 24 Metrix a une position Low Z possible pour la mesure des tensions en alternatif.
3. On rend artificiellement l'impédance d'entrée du multimètre faible, par exemple en branchant (en sécurité, douille + fils) une lampe de quelques watts aux bornes du multimètre, vous verrez alors que la tension est bien nulle, lampe éteinte, inter ouvert.
Conclusion : on ne peut pas systématiquement croire ce qu'indique un multimètre numérique quand les potentiels ne sont pas fixés (circuits "en l'air"). Pour vérifier simplement chez soi, une douille avec fils volants rigides et lampe de 25 W est souvent utile pour réaliser les tests de base. GL

C'est doublement bizarre. Il me semble que tout ces appareils (même le mien qui a 20 ans) sont monotension 220 V. Ensuite, il me semblait qu'il n'y avait pratiquement plus de 110 V nulle part. Vous pouviez nous éclairer ? Si votre appareil a fonctionné un certain temps (des dizaines de secondes) sous 220 V et qu'il sent le grillé, c'est qu'il n'y a pas de fusible caché. S'il s'est arrêté de suite, il y en a peut-être un.

Vous regardez sur le site, le fonctionnement du télérupteur est décrit. Un télérupteur comporte donc 2 bornes pour la bobine, et au moins 2 bornes pour le contact. Vous êtes obligé de remettre un autre télérupteur. Si votre ancien modèle comporte des contacts à mercure, il faut le donner à une déchetterie (ou le garder comme pièce de musée).

J'opterais plutôt pour un radiateur de collection fonctionnant en triphasé 380 V. Pour le faire fonctionner en mono et en l'absence de schéma, il y a sans doute possibilité, mais il faut du temps, du démontage et de la mesure. Tout cela pour peut-être s'aperçevoir que ce n'est pas possible.

En stand by, l'ampli n'est plus sous tension (c'est justement l'utilité du stand by). Seul le circuit de veille est alimenté.
Plus de tension non plus aux bornes des HP, et surtout pas 100 V ! Il y a certainement un circuit magnétique (comme dit dans les réponses sauf la 7) qui vibre à 100 Hz.
Bonne recherche, vous n'avez pas d'acouphènes.
Plus de tension non plus aux bornes des HP, et surtout pas 100 V ! Il y a certainement un circuit magnétique (comme dit dans les réponses sauf la 7) qui vibre à 100 Hz.
Bonne recherche, vous n'avez pas d'acouphènes.

Il ne doit pas être bien gros. Mettez-le dans un endroit accessible, sur le tableau est une bonne idée. Noubliez pas les protections électriques ; faites le bon choix du câble de liaison.

Ouh là ! A la louche il va consommer 60 A en permanent et beaucoup plus au démarrage (si c'est un moteur à courant continu) et c'est costaud à commuter. On voudrait en savoir plus sur le moteur (type) et sur la source ? Pour entraîner quoi ?

Les fils qui viennent du relais de télécommande EDF HP/HC sont les bornes d'un vulgaire contact sec qui se ferme lors du passage en HC. Ce contact (que vous protègerez par un fusible ou un disjoncteur 2A) permettra de commander la bobine du contacteur heures creuses, que vous alimenterez à partir de votre tableau secondaire. Pour la section 1,5 mm2 convient, je différencierais par rapport au bleu rouge et jaune vert habituels. Pour le passage, dans la gaine de 50 avec l'arrivée puissance ne me semble pas un obstacle. Noubliez pas les différentiels pour les différentes lignes de ce logement.

Techniquement c'est possible, mais si l'on veut être dans la légalité et la sécurité, il faut un circuit pour les prises, et un autre pour le convecteur qui arrive dans une sortie de câble (les 2 circuits protègent chacun par leur disjoncteur proviennent du tableau d'abonné).

Une précision manque dans votre question. Vous avez un abonnement EDF en mono ou en tri ?

D'après notre livre de chevet (extraits de la C15-100), c'est très bien. Elle dit : pour le four différentiel type AC - Chauffe eau : plutôt différentiel AC - Congélateur : alimenté (si possible) par une ligne spécifique protégée par un Disjoncteur Différentiel super imunisé (SI). En gros, à part le congélateur s'il y en a un, c'est correct. Si vous pensez avoir un jour une plaque de cuisson, pensez à tirer une ligne en 6 mm2 avec protection 32 A sur l'ID type A, il y a une place sur la rangée.

Pour la mesure, voir ma réponse N°1 à la question N°2627 de ce forum électricité. Le plus simple ne serait-il pas de changer la lampe ?

Tapez "double allumage" dans un moteur de recherche : ou cliquez ici et vous trouverez le schéma développé qui convient. Allumer 2 lampes séparément revient à câbler 2 simples allumages (ne pas confondre avec va et vient).

Il existe chez les professionnels une sorte de flexible avec une tête chauffante au bout qui fait fondre le polystyrène. Sinon, une méthode personnelle qui a donné ses preuves avec du placo alvéolé : le long du trajet, faire des petites saignées de 6 cm sur 2 ou 3 à 40 cm d'intervalle environ. Ensuite, avec un fer à béton de 12 mm environ, légèrement courbé, on usine comme on peut de proche en proche de façon à faire le passage pour le tube. On passe une aiguille en fil de 1, 5 mm2 ou plus de façon à pouvoir tirer le tube tout en poussant de l'autre côté. Puis on rebouche au plâtre. Quelqu'un a peut-être une autre solution (Sam ?).

Ben oui. C'est du bricolage de précision pur. Tout d'abord, sur une applique en bronze, je m'efforcerais de connecter la terre. Ensuite, pour prolonger les fils, on peut faire une épissure, mais il faut savoir, et avec du fil souple c'est à éviter. Ou bien, si l'on est outillé, on peut souder à l'étain deux fils souples en les isolant par une gaine tubulaire (si elle est thermorétractable c'est encore mieux), ou avec du bon scotch d'électricien. On fait de même sur les fils qui sortent du mur en espérant qu'il y aura un peu de place pour loger tout cela. Bref, c'est faisable si l'on est soigneux (et bon soudeur ou bon épisseur).

Regardez là : va-et-vient.com
Peu importent les couleurs et le numéro des bornes. Sur chaque commutateur, il faut repérer le "commun" et les "navettes". Un commutateur de va et vient est un inverseur unipolaire. Si j'appelle les bornes A, B et C, en position 1, A et B sont connectés, et en position 2 ce sont A et C. A est donc le commun et B et C les navettes. Vous avez une erreur de branchement. Bonne recherche.
Peu importent les couleurs et le numéro des bornes. Sur chaque commutateur, il faut repérer le "commun" et les "navettes". Un commutateur de va et vient est un inverseur unipolaire. Si j'appelle les bornes A, B et C, en position 1, A et B sont connectés, et en position 2 ce sont A et C. A est donc le commun et B et C les navettes. Vous avez une erreur de branchement. Bonne recherche.

Vous avez pratiquement tout compris, mais que voulez vous dire au sujet des neutres sous les disjoncteurs, sachant que ceux-ci sont unipolaires ? Votre tableau semble ancien, hors normes (vous savez qu'il faut des coupures bipolairs Ph N, et des différentiels.) Au point où vous en êtes, pourquoi ne pas tirer un neutre de prise pour alimenter votre lampe (pas un radiateur électrique !). Il n'y aura pas plus de risques. Mais il faudrait quand même penser à faire une réfection du tableau, de bien différentier les circuits et de mettre les différentiels habituels. Et là, il y aura des surprises possibles si dans vos pièces, des neutres lumière sont repris sur des neutres de prises. Pas facile tout cela, mais il faut penser à la sécurité des vôtres ; un bon investissement.

Complément à ma réponse 2 et à réponse 4. Si c'est le D d'abonné qui déclenche, c'est loin d'être une "petite" fuite (et il semble qu'il n'y en ait pas d'autres en 30 mA). Si c'est un 30 mA qui déclenche, c'est qu'il a bien fait son travail. Quant aux courants de fuite des isolants, dans les applications électro-domestiques ils sont négligeables. Ne pas comparer également avec la résistance de fuite d'un condensateur (ce n'est pas un composant aussi simple qu'il en a l'air); rien à voir non plus dans l'électro-domestique. Mais depuis le temps qu'il a posé sa question, notre client a dû trouver la panne.

On n'est pas à 10 V près. D'autant plus que la tension nominale du secteur est normalisée à 230 V (dans la fourchette 207 à 244 V). Vous allez pouvoir utiliser votre réchaud. Vérifiez qu'il est bien relié à une prise de terre.

Qu'est-ce que le petit disjoncteur ? Votre description est imprécise. Pour rallonger, on peut de servir d'un domino pour executer les raccordements. Faites appel à quelqu'un d'expérimenté si vous n'avez pas trop de connaisances techniques.

Consultez sur le site la doc relative au fonctionnement d'un montage télérupteur, repérez dans vos boîtes diverses les différents circuits et faites vous un schéma des branchements actuels. Ensuite, affectez chaque BP au bon télérupteur, et chaque lampe également au bon télérupteur. Connaissances en schéma unifilaire indispensables. Pas simple si vous n'êtes pas familier de ces techniques.

Pour cette question, voir ma réponse (N°1) à la question N°2552.

Pour cette question et celle de dessous (2656), voir la reponse N°1 à la question N°2552. L'agence ou le bailleur ont dû préciser que l'abonnement (puissance et option HP HC) étaient à la charge du locataire. Par contre, si vous optez pour un double tarif, je ne sais pas qui doit payer le relais, sachant que c'est une modification de l'installation électrique qui va bénéficier au propriétaire (celui-ci doit vous donner une autorisation ?). Attendons l'avis d'autres internautes. En attendant, cherchez sur le WWW ou "choisissez" de vous renseigner auprès d'une organisation de consommateurs.

Des imprécisions. Branchement étoile pour quel réseau initial (127V 220V ou 220V 380V) ? Vous voulez le brancher sur un réseau 220V 380V ?

Il faut utiliser des interrupteurs différentiels devant vos ensembles de disjoncteurs. Ils auront des calibres en intensité supérieures. 25 et 40 A sont des valeurs communes, mais il y a 3 types de différentiels : A, AC, SI. Il serait prudent de faire intervenir un professionnel ou un ami expérimenté qui vous remettra tout cela d'aplomb. Le tri vous est utile ? Cela va augmenter le prix de vos équipements.

Comment la mesurez vous ? Est-ce uniquement visuel ? Les lampes sont-elles alimentées avec du fil de section correcte (1,5 mm2), les avez-vous bien branchées en parallèle ? Assurez-vous que les bornes de l'interrupteur sont bien sérrées. Travaillez hors tension.

Voir ma réponse 1 concernant la question 2627.

Si les circuits sont complètement déconnectés de la sortie du D et qu'il ne tient pas au réenclenchement, je crains fort qu'il faille le changer. Voir EDF.

Protégez la ligne lumière avec un fusible 10 A. Et branchez le radiateur sur une prise 16 A (fils 2,5 mm2), sans interrupteur autre que celui incorporé au sèche serviettes. Ceci montre que les interrupteurs domestiques présentent un résistance non nulle quand ils sont fermés (ce sont des mauvais court-circuits). Et parcourus par un courant trop important, ils chauffent énormément. Des incendies ont commencé comme cela.

Vous n'avez pas bien cherché la solution sur le site. Regardez là : télérupteur.com
C'est un télérupteur bipolaire.
C'est un télérupteur bipolaire.

Le rapport d'enquête ou l'expertise doivent être argumentés. Bizarre en effet. Pour que la surtension déclenche un incendie, il faut qu'il y ait eu quelque part un courant intense dû à cette surtension. Entre les pôles ouverts du disjoncteur ? Si la ligne est aérienne, entre la ligne et un point de la maison ? Le feu a pris où ? Attendons d'autres idées.

Voir éventuellement le schéma du télérupteur sur ce site, disponible ici. Si l'on pinaille, on peut protéger le circuit de la bobine par un disjoncteur 2A et la puissance par un 10 A, mais c'est du luxe. Un seul disjoncteur 10 A peut protéger bobine et circuit puissance. Vous avez bon et allez faire une économie.

Référez vous au schéma de câblage joint et respectez le. Evitez de faire des expériences.

Beaucoup d'internautes voient des condensateurs partout quand les interrupteurs sont ouverts et des courants de fuite à travers eux. Ce sont les éternels problèmes de circuits "en l'air" qui perturbent les mesures avec les multimètres numériques, ou les testeurs à lampe néon (voir question 2627). Evitez d'employer "l'effet" capacitif comme explication magique. On connait très bien "l'effet Joule" et il se quantifie très bien, mais l'effet condensateur, non.
Beaucoup de confusions entre courant et tension dans ce forum électricité.
Un testeur à lampe néon détecte de la tension (on dit une ddp)entre la pointe de touche et la terre à laquelle est relié l'opérateur, qu'il y ait du courant ou non dans le circuit. Une expérience : on relie la pointe de touche du testeur à une phase, et l'autre borne à un fil de 1 m dont l'opérateur ne touche pas l'extrémité. La lampe s'allume un peu, et pourtant il n'y a pas d'inter ni V et V ouvert. Et quand on sait que la lampe néon a une tension d'arc de 80 V environ... Imaginez alors la valeur de la capacité entre l'extrémité du fil et la terre ! Et la valeur du courant de fuite de l'interrupteur équivalent.
Rep 1 : si l'on shunte le témoin à lampe néon par une grande résistance, il s'éteint (voir question 2627)
Rep 2 : revient à shunter le récepteur. Pas courants ces condensateurs. On va faire le test. Pas d'effet de C.
Rep 3 : assez d'accord. On va bien regarder.
Rep 4 : voir plus haut. On va faire le test sur les fluocompactes.
GL
Beaucoup de confusions entre courant et tension dans ce forum électricité.
Un testeur à lampe néon détecte de la tension (on dit une ddp)entre la pointe de touche et la terre à laquelle est relié l'opérateur, qu'il y ait du courant ou non dans le circuit. Une expérience : on relie la pointe de touche du testeur à une phase, et l'autre borne à un fil de 1 m dont l'opérateur ne touche pas l'extrémité. La lampe s'allume un peu, et pourtant il n'y a pas d'inter ni V et V ouvert. Et quand on sait que la lampe néon a une tension d'arc de 80 V environ... Imaginez alors la valeur de la capacité entre l'extrémité du fil et la terre ! Et la valeur du courant de fuite de l'interrupteur équivalent.
Rep 1 : si l'on shunte le témoin à lampe néon par une grande résistance, il s'éteint (voir question 2627)
Rep 2 : revient à shunter le récepteur. Pas courants ces condensateurs. On va faire le test. Pas d'effet de C.
Rep 3 : assez d'accord. On va bien regarder.
Rep 4 : voir plus haut. On va faire le test sur les fluocompactes.
GL

Il est un peu pessimiste. Je connais beaucoup de salles (7 x 14 m et plus) éclairées par des rangées de tuble fluo et commandées par des inter ou V et V Mosaïc. C'est vrai qu'à la mise sous tension il y a le courant d'appel, et qu'à la coupure il y a des arcs, mais si la commande est brusque, ça tient. Des années. Sinon, voyez sur le site le montage télérupteur (commande par Bouton poussoir).

Il y a longtemps qu'il n'y a plus de plomb dans les tableaux, sauf dans les vieilles maisons. Il y a soit des fusibles, soit des disjoncteurs (du moins, on espère). Avez-vous un double tarif HP HC ? Dans ce cas, le contacteur ne reçoit peut-être pas la commande EDF, la protection électrique du contacteur a déclenché, il est également possible que le chauffe eau ait un problème. En l'absence de précisions, difficile de vous orienter, faites plutôt appel à un ami expérimenté qui fera les observations nécessaires. N'intervenez pas si vous n'avez pas un minimum de connaissances.

Dans un circuit ouvert il ne peut y avoir que des tensions induites, pas des courants. Plutôt que de vous acheter un multimètre dont les indications risquent de vous rester mystérieuses et pas faciles à interpréter si vous êtes éloigné du métier, laissez votre testeur à lampe néon de côté (peu d'internautes savent vraiment interpréter son indication lumineuse, la preuve en est le nombre de questions qui tournent toujours autour du même sujet), et essayez la lampe 25 W sur une douille avec 2 fils rigides au bout, elle ne s'allumera pas pour n'importe quoi. Pour la nième fois, le testeur indique une présence tension, mais entre quoi et quoi ? Dangereuse ou pas ? Là est le problème.

Le vendeur n'a-t-il pas une part de responsabilité au titre des vices cachés ? Trop complexe pour répondre ici. Faites intervenir un professionnel.

Il est toujours possible de fabriquer un "neutre artificiel" en l'absence de neutre réel, mais pour effectuer des mesures uniquement. Donc, comme vous voulez tirer de la puissance, vous ne pouvez pas, il n'y a pas de réponse positive à votre question. On aurait aimé savoir comment vous réglez la puissance de chauffe. Il faudrait pouvoir "faire avec", c'est à dire sans neutre. Dans ce cas, on connecte votre corps de chauffe en étoile (point nodal non raccordé au neutre puisqu'il n'y en a pas), mais on ne pourrait régler la puissance de chauffe.
Néanmoins, il existe sur le marché des gradateurs à train d'onde pour four qui sont alimentés directement en 3P + T. Vous voulez vraiment régler la puissance ? Pour les curieux, on prend un transfo triphasé DYn et le tour est joué. Mais c'est très lourd et cher. GL
Néanmoins, il existe sur le marché des gradateurs à train d'onde pour four qui sont alimentés directement en 3P + T. Vous voulez vraiment régler la puissance ? Pour les curieux, on prend un transfo triphasé DYn et le tour est joué. Mais c'est très lourd et cher. GL

Vu sur le site Leblanc les caractéristiques de la chaudière : Elle ne consomme rien et on peut l'alimenter en direct sans passer par votre coupe-circuit de collection. Elle est alimentée par un ligne directe spécifique (P + N + T) qui arrive sur une sortie de câble ou sur une prise. Regardez quand même la section des fils. Dans un cas comme dans l'autre, une protection 10 A suffit. S'il y a déjà des interrupteurs différentiels sur le tableau d'abonné, on peut mettre un disjoncteur en cascade pour la ligne chaudière. Dans le cas contraire (absence d'ID), je mettrais un disjoncteur différentiel 30 mA cal 10 A. Quant au coupe-circuit avec fusibles, même en brocante ça ne part pas.

Pas mauvais tout cela. La section de 6 est bien choisie, cela évitera un peu de pertes en ligne, même pour une petite puissance. Si c'était moi, je mettrais un disjoncteur différentiel 32 A DDR 30 mA à l'entrée de la ligne, sur le tableau d'abonné, et sur le tableau étanche en extérieur, un disjoncteur 20 A pour alimenter les lampes, ainsi qu'un voyant présence tension en amont de ce disjoncteur. Quant à la terre, comme elle est distribuée par le câble, pas besoin de piquet.

Cher LB rep 5. Notre client ne se plaint pas de son voyant témoin sur son interrupteur (apparemment, il n'y en a pas), mais du fait que ses lampes restent très faiblement allumées. Rep 1 décrit le fonctionnement du voyant (néon, comme un testeur) en parallèle sur l'interrupteur (voyant éteint = lampe allumée et VVersa ; faute de mieux, en l'absence de neutre dans le boîtier interrupteur, pourquoi pas ? Rappelons quand même que le témoin doit être en parallèle avec la lampe, d'où le neutre ramené); donc Rep 1 est hors sujet.
Les fluocompactes, comme tous les tubes luminescents, présentent un peu de rayonnement rémanent à la coupure (facile à voir dans le noir), mais ça s'estompe vite. Pas d'avis sur les spots à led, jamais manipulé cela. Pour l'allumage sous les lignes HT, j'opterai plutôt pour l'action du champ électrique au niveau du tube, plutôt que le champ magnétique ; continuons à chercher. GL
Les fluocompactes, comme tous les tubes luminescents, présentent un peu de rayonnement rémanent à la coupure (facile à voir dans le noir), mais ça s'estompe vite. Pas d'avis sur les spots à led, jamais manipulé cela. Pour l'allumage sous les lignes HT, j'opterai plutôt pour l'action du champ électrique au niveau du tube, plutôt que le champ magnétique ; continuons à chercher. GL

Rep 1 (LVE): Ce n'est pas un problème de sinusoïdal mais l'éternel problème de la mesure sur des circuits en l'air. Voir Rep 2 et Rep 7 question 2669.
Forcément d'accord avec Rep 2, les prises étant en parallèle (repiquage Ph N T de prise en prise), il y a une coupure quelque part. Il faut démonter les caches des prises et se servir des bornes d'une prise qui fonctionne (ce serait bien de repérer où la puissance arrive, et la dernière de la mise en cascade qui ne comporte que 3 fils et non 6 comme les autres). Ensuite, avec la lampe habituelle de 25 W montée sur douille et long fils rigides, on recherche si c'est phase coupée ou neutre coupé ; il faut être deux, et se faire un petit schéma repéré. Pas difficile si l'on est méthodique. Avec gants caoutchouc si possible. Mais peut-être est-il plus simple de contrôler la continuité à l'ohmmètre (fonction bip sonore), disjoncteur d'abonné coupé. GL
Forcément d'accord avec Rep 2, les prises étant en parallèle (repiquage Ph N T de prise en prise), il y a une coupure quelque part. Il faut démonter les caches des prises et se servir des bornes d'une prise qui fonctionne (ce serait bien de repérer où la puissance arrive, et la dernière de la mise en cascade qui ne comporte que 3 fils et non 6 comme les autres). Ensuite, avec la lampe habituelle de 25 W montée sur douille et long fils rigides, on recherche si c'est phase coupée ou neutre coupé ; il faut être deux, et se faire un petit schéma repéré. Pas difficile si l'on est méthodique. Avec gants caoutchouc si possible. Mais peut-être est-il plus simple de contrôler la continuité à l'ohmmètre (fonction bip sonore), disjoncteur d'abonné coupé. GL

A la relecture de la question, je m'aperçois que les générateurs sont mis à disposition ainsi que les rallonges. Les générateurs doivent délivrer les 3 phases et le neutre. Le plus simple ne serait-il pas d'avoir un prolongateur à vous en 3P + N + T ? A moins d'exiger une distribution complète auprès du responsable de chantier ?
